“La mujer es una queja sin sonido”. El eterno femenino en la obra de Pablo Montoya

Dans la vaste oeuvre littéraire de Pablo Montoya, la femme est loin de constituer un personnage secondaire, même si elle est perçue comme ‘irreprésentable’. La mère et les soeurs sont les figures les plus présentes: ce sont des êtres toujours constants, observés par des hommes qui ne parviennent pas à les comprendre. La mère est l’origine et la stabilité; sa mort implique le début de l’érosion des structures sociales. D’autres sont des vagues souvenirs; la femme et les révolutions sont des causes perdues. La femme n’est pas une Lilith revendicatrice, mais une Eve docile qui se sacrifie au bénéfice d’autrui. Si l’homme incarne l’action, la femme est plutôt centrée sur une stratégie accommodante et de sacrifice.En la extensa obra de Pablo Montoya, la mujer está lejos de constituir un personaje secundario, aunque se perciba como ‘irrepresentable’. Madre y hermanas son las representantes femeninas por excelencia: son seres constantes observados por hombres sorprendidos que no logran comprenderlas. La madre es el origen y lo estable; con su deceso inicia el desmoronamiento de las estructuras sociales. Otras, son vagos recuerdos, pero mujer y revolución son causas perdidas. La mujer no es una Lilith reivindicadora, sino una Eva dócil que se sacrifica por el otro. Si el hombre encarna la acción, la mujer está centrada primordialmente en una estrategia acomodaticia y de sacrificio